APS : Vendredi, 01 Avril 2016
ALGER – Le coup d’envoi du Tournoi préolympique de lutte “Afrique-Océanie” a été officiellement donné vendredi après-midi à la Coupole du Complexe Mohamed-Boudiaf d’Alger (1-3 avril), par une cérémonie d’ouverture riche en couleurs.
Ce rendez-vous mondial de la lutte, qualificatif aux Jeux Olympiques de Rio 2016, enregistre la participation de 244 lutteurs (messieurs et dames) représentant 22 pays dont l’Algérie.
Il a débuté en présence du ministre de la Jeunesse et des Sports, El Hadi Ould Ali et du directeur technique de l’Union mondiale de lutte (UWW), président de la Confédération africaine de lutte, le Marocain Fouad Meskout.
“L’Algérie est en train de vivre une succession d’évènements sportifs d’envergure mondiale. Cet évènement organisé sous le haut patronage du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, constitue une opportunité pour réaffirmer l’engagement des pouvoirs publics à offrir tous les moyens pour le développement du mouvement sportif algérien”, a déclaré El Hadi Ould Ali dans son allocution d’ouverture.
La matinée de la première journée du Tournoi “Afrique-Océanie” a été consacrée aux épreuves de qualifications et demi-finales de la lutte gréco-romaine. Six finales sont prévues à partir de 19h00.
Les cinq Algériens engagés en lutte gréco-romaine sont : Bilel Benbrih (59 Kg), Akrem Boudjemline (75 Kg), Adem Boudjemline (85 Kg), Hamza Haloui (98 Kg) et Ali Bouachioum (130 Kg).
Adem Boudjemline a déjà arraché sa qualification pour les JO en atteignant la finale de sa catégorie de poids.
La sélection algérienne de lutte est présente avec un total de 17 athlètes (5 en lutte gréco-romaine, 6 en lutte libre et 6 en lutte féminine).
Quatorze (14) pays africains sont présents: Algérie (pays organisateur), Tunisie, Maroc, Egypte, Nigeria, Guinée-Bissau, Namibie, Sénégal, Congo, Tchad, Cameroun, Madagascar, Maurice et Sierra Leone.
Quant aux représentants de l’Océanie, ils sont au nombre de huit: Australie, Nouvelle-Zélande, Samoa, Etats de Micronésie, Guam, Nauru, Iles Marshall et Palaos.
